Présidant le lancement au Sénégal de la publication scientifique internationale ‘’The Lancet’’ consacrée au développement intégré de la petite enfance édition 2016, le premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne a lors de son discours d’ouverture, expliqué les objectifs de développement sur l’Education de l’agenda 2030.
C’est dans ce contexte qu’il a affirmé : « D’ici 2030, faire en sorte que toutes les filles et tous les garçons aient accès à des activités de développement de soin de la petite enfance et à une éducation préscolaire de qualité qui les préparera à suivre un enseignement primaire. Il s’agit ainsi de mettre en place les parts du développement du bien être et de la santé à long terme des enfants et ceci dès leur naissance. Dans la même perspective, ‘’the Lancet’’ met l’accent sur les soins offert en particulier aux enfants au moins de 3 ans et aussi sur les interventions multi sectorielles liées notamment à la santé, la nutrition, l’éveil, la stimulation précoce, l’éducation et la protection sociale.
En fournissant des services de qualité aux enfants dès leur plus jeune âge notamment, ceux issus des groupes marginalisés, l’on obtient en effet de meilleurs résultats à long terme dans le développement global des enfants et leur insertion harmonieuse dans la société. Au niveau du continent Africain, les défis majeurs en matière d’éducation et de formation sont bien cernés. Il en est de même pour la vision et le cap à franchir à l’horizon 2025.
La stratégie continentale d’éducation pour l’Afrique 2016/ 2025 ambitionne de créer un système d’éducation et de formation de qualité dont l’objectif est d’offrir au continent africain des ressources humaines performantes adaptées à la valeur commune africaine et donc aptes à la réalisation de la vision et des ambitions de l’Union Africaine ».
Poursuivant, le premier ministre a confié qu’il s’agira de développer en Afrique des compétences et des aptitudes nécessaires pour briser le cycle inter générationnel de la pauvreté et assurer ainsi le développement durable et ce dans les premiers moments de la vie. Au Sénégal, lance t-il, l’existence d’une forte volonté politique est manifeste en la matière et le développement de la petite enfance est inscrit dans l’axe 2 du Sénégal Emergent.
« Le référentiel de notre politique nationale depuis la vision du Sénégal du Président de la République, cette volonté s’est traduite par l’adoption de document de politique et de stratégique porté par plusieurs ministères sectoriels dans le but d’améliorer l’environnement du sous secteur de la petite enfance. La banque Mondiale va démarrer à partir de l’année prochaine un nouveau programme à hauteur de 60 millions de dollars. C’est donc dire que nous devons tous nous engager pour entourer nos enfants de soins attentifs de qualité dès la prime enfance, nous mobiliser dans des actions multi sectorielles et multi acteurs pour atteindre les enfants les plus jeunes et surtout ceux vivant dans les zones rurales et péri urbaines », a conclu le premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne .
C’est dans ce contexte qu’il a affirmé : « D’ici 2030, faire en sorte que toutes les filles et tous les garçons aient accès à des activités de développement de soin de la petite enfance et à une éducation préscolaire de qualité qui les préparera à suivre un enseignement primaire. Il s’agit ainsi de mettre en place les parts du développement du bien être et de la santé à long terme des enfants et ceci dès leur naissance. Dans la même perspective, ‘’the Lancet’’ met l’accent sur les soins offert en particulier aux enfants au moins de 3 ans et aussi sur les interventions multi sectorielles liées notamment à la santé, la nutrition, l’éveil, la stimulation précoce, l’éducation et la protection sociale.
En fournissant des services de qualité aux enfants dès leur plus jeune âge notamment, ceux issus des groupes marginalisés, l’on obtient en effet de meilleurs résultats à long terme dans le développement global des enfants et leur insertion harmonieuse dans la société. Au niveau du continent Africain, les défis majeurs en matière d’éducation et de formation sont bien cernés. Il en est de même pour la vision et le cap à franchir à l’horizon 2025.
La stratégie continentale d’éducation pour l’Afrique 2016/ 2025 ambitionne de créer un système d’éducation et de formation de qualité dont l’objectif est d’offrir au continent africain des ressources humaines performantes adaptées à la valeur commune africaine et donc aptes à la réalisation de la vision et des ambitions de l’Union Africaine ».
Poursuivant, le premier ministre a confié qu’il s’agira de développer en Afrique des compétences et des aptitudes nécessaires pour briser le cycle inter générationnel de la pauvreté et assurer ainsi le développement durable et ce dans les premiers moments de la vie. Au Sénégal, lance t-il, l’existence d’une forte volonté politique est manifeste en la matière et le développement de la petite enfance est inscrit dans l’axe 2 du Sénégal Emergent.
« Le référentiel de notre politique nationale depuis la vision du Sénégal du Président de la République, cette volonté s’est traduite par l’adoption de document de politique et de stratégique porté par plusieurs ministères sectoriels dans le but d’améliorer l’environnement du sous secteur de la petite enfance. La banque Mondiale va démarrer à partir de l’année prochaine un nouveau programme à hauteur de 60 millions de dollars. C’est donc dire que nous devons tous nous engager pour entourer nos enfants de soins attentifs de qualité dès la prime enfance, nous mobiliser dans des actions multi sectorielles et multi acteurs pour atteindre les enfants les plus jeunes et surtout ceux vivant dans les zones rurales et péri urbaines », a conclu le premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne .
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